« Charité après la mort », c’est le sujet d’étude de ce mercredi 08 mars
Quels principes pouvons-nous tirer des textes suivants concernant la manière dont nous devrions nous rapporter à l’argent?
L’argent peut avoir une emprise puissante sur les êtres humains, une emprise qui conduit beaucoup à la ruine. Qui n’a pas entendu parler des gens qui font des choses terribles à cause de l’argent, même s’ils en avaient déjà beaucoup au départ?
Cependant, cela ne devrait pas être ainsi. Par la puissance de Dieu, nous pouvons vaincre la tentative de l’ennemi de prendre ce qui était censé être une bénédiction (les biens matériels) et le transformer en malédiction. Dans le contexte d’être un bon intendant dans la planification de la mort, l’un des dangers auxquels les gens sont confrontés est la tentation d’accumuler des actifs maintenant, justifiant cette thésaurisation par l’idée que, eh bien, « quand je mourrai, je pourrai tout donner alors ». Bien que cela soit mieux que le fait de tout dépenser maintenant (un milliardaire avait dit qu’il savait qu’il ne vivrait bien que si les dépenses pour ses funérailles étaient grandes), nous pouvons et devons faire mieux que cela.
« Ceux qui attendent d’être à l’article de la mort pour disposer de leurs biens, les donnent à la mort plutôt qu’à Dieu. En agissant ainsi, ils vont directement à l’encontre du plan divin, pourtant clairement tracé. S’ils veulent faire du bien, qu’ils profitent du moment présent et travaillent de toutes leurs forces, comme s’ils craignaient de laisser échapper l’occasion. Ceux qui négligent un devoir connu en ne faisant pas droit en cette vie aux exigences de Dieu, qui calment leur conscience en se disant qu’ils feront un legs par testament, ceux-là ne recevront ni louange, ni récompense de la part du Maitre. » Ellen G. White, Témoignages pour l’église, vol. 1, p. 643.
Pourquoi devons-nous être très prudents dans la façon dont nous justifions notre utilisation des bénédictions matérielles que nous avons?