« La provision de Dieu pour les pauvres », c’est le sujet d’étude de ce dimanche 12 février
Dans leurs écrits, les auteurs de la Bible ont mentionné de nombreuses provisions de Dieu pour les pauvres, les étrangers, les veuves et les orphelins. Cela remonte jusqu’au mont Sinaï. « Pendant six années, tu ensemenceras la terre, et tu en recueilleras le produit. Mais la septième, tu lui donneras du relâche et tu la laisseras en repos; les pauvres de ton peuple en jouiront, et les bêtes des champs mangeront ce qui restera. Tu feras de même pour ta vigne et pour tes oliviers » (Exode 23:10, 11, LSG
Lisez Lévitique 23:22 et Deutéronome 15:11. Aussi différent que puisse être le contexte de nos vies d’aujourd’hui, quels principes devrions-nous retenir de ces versets?
Nous comprenons généralement que le terme « frère » se réfère ici à d’autres Israélites ou à d’autres croyants. Nous les considérons aussi comme les pauvres ou les « plus petits de ces frères ». Le livre des Psaumes donne des directives sur la façon dont nous devrions traiter ceux qui sont dans le besoin.
« Rendez justice au faible et à l’orphelin, faites droit au malheureux et au pauvre, sauvez le misérable et l’indigent, délivrez-les de la main des méchants » (Ps. 82:3, 4, LSG
Ensuite, il y a des promesses à ceux qui aident les nécessiteux. « Celui qui donne au pauvre n’éprouve pas la disette » (Prov. 28:27, LSG
En revanche, même dans les temps plus modernes, en particulier en Angleterre, sous l’impact de ce qui a été connu sous le nom de « darwinisme social », beaucoup pensaient que non seulement il n’y avait pas d’impératif moral pour aider les pauvres, mais aussi qu’il était, en effet, mal de le faire. Au lieu de cela, suivant les forces de la nature, dans lesquelles les forts survivent aux dépens des faibles, les « darwinistes sociaux » croyaient qu’il serait préjudiciable à la société d’aider les pauvres, les malades, les indigents, parce que, s’ils se multipliaient, ils ne feraient qu’affaiblir le tissu social de la nation dans son ensemble. Aussi cruelle soit-elle, cette pensée était la conséquence logique de la croyance en l’évolution et du faux récit qu’elle proclame.
Comment l’évangile, l’idée que Christ est mort pour tout le monde, devrait-il avoir un impact sur la façon dont nous traitons tout le monde, peu importe leur identité?